Il y a longtemps que je n’ai pas posté de billet sur ce blog, faute de temps, de motivation et de news qui valent la peine d’être diffusées…
Bref, me revoilà avec un brin de nostalgie. Il y a 10 ans maintenant, la Playstation vivait ses toutes premières heures en Europe et arrivait avec son flow de nouveautés : environement 3D, musique de qualitée CD, 16 millions de couleur et j’en passe… On pouvait noter l’arrivé des premiers vraix jeux de course 3D à la maison (ceux qui fréquentait les salles d’arcades connaissait déjà), dans le lot, il y avait notamment Destruction Derby développé par Psygnosis. Je vous propose un come-back.
Bien que tout nouveau dans le genre, les graphismes sont pas mal et les textures étaient déjà très détaillées, peut-être même trop, m’enfin. Les voitures sont tout de même très carrés et les déformations dû aux différents chocs que vous affligez à votre bolide manque un peu de diversitées.
Un lot de trois voitures s’offrait aux joueurs qui suivant son niveau choisissait une voiture plus ou moins difficile à piloter.
Niveau interaction avec le décor, on est encore dans du très basique, les circuits sont plat de chez ultra-plat, impliquant toute impossibilité à votre voiture de partir en tonneau. Seule figure au programme, des tête-à-queux et autre « 360 » qui rapportent les points nécessaire à la victoire.
La musique est très bien adapté au jeu et évoque, rien qu’à la re-écouter, des souvenirs de soirées passé devant ce jeu à essayer de battre tous les adversaires.
A l’époque, ce jeu valait un bon 16, voir 17/20. Pour l’innovation, le fun, la musique, enfin tout le contraire de ce qu’est devenu Destruction Derby aujourd’hui sur PS2.
Remarque : sur un CD de 600mo, seul 10mo sont allouer au jeu, tout le reste c’est de la musique.

